Partie du 28 mars

Salut les gens !

J'ai franchement moins le temps de faire des résumés, mais je vais tout de même consigner ici ce qu'il s'est passé, pour mémoire.

Après la traversée de la forêt noire via le sentier des elfes, Joar, Vétis et Jarvie nous ont quittés pour faire route à l'Ouest, tandis que nous avons poursuivi vers le Sud, avec pour dessein d'hiverner dans la famille de Grimwald.

Sous une pluie diluvienne alors que nous arrivions à proximité du village où nous comptions nous reposer et nous sécher pour la nuit, nous sommes tombés sur un cadavre en piteux état (chairs en lambeau, jambe arrachée, etc...) Apparemment, il n'était pas seul, car des traces indiquaient que quelqu'un avait pris la fuite vers la forêt. Compte tenu des conditions plus que défavorables, nous avons décidé de ne pas poursuivre en ce sens et avons tracé au village.

Le village était empli de cadavre, dont certains apparemment morts une deuxième fois.

On a fouillé le village : aucun survivant, à l'exception d'une petite fille au fond d'un puits (Gillian), traumatisée.

Au cours de la nuit, on a entendu un bruit de combat, avec une voix féminine qui tentait d'intimider des "créatures".

On s'est jeté dans la bataille, en venant en aide à Miriel, Elfe de la Lorien loin de chez elle, entourée de toutes part par des morts-vivants peu amicaux.

Après les avoir détruit, Miriel nous a dit qu'elle est ici en mission d'observation pour le compte de son seigneur afin de faire le point sur l'Ombre qui semble s'étendre à nouveau.

Elle a vu des cavaliers, trois gens d'armes et un vieux à proximité du cimetière accomplir un étrange rituel, peu avant que les cadavres ne surgissent de leurs tombes.

On en a déduit deux choses : il y a eu deux vagues (la nuit précédente et celle-ci), et puisqu'il y a plus de tombes ouvertes que de morts deux fois, il est possible que comme dans les légendes sur le premier âge, ces gens, qui semblent appartenir à un clan d'hommes des bois retournés, cherchent à lever une armée de morts-vivants.

Ils sont partis vers le sud, et nous sommes en milieu de matinée...